Histoire

Groupe formé en 2017…

Comme beaucoup d’histoires carnavalesques, tout commence au coin d’un bar d’une soirée également carnavalesque. Les premières idées farfelues se concrétisent sur un post-it de couleur vert fluo toujours sur un coin mais de table cette fois … dans une salle d’institutrices d’une école communale que je ne nommerai pas (ndlr : je rassure tout le monde, il était 16h30). Aurélie, Caroline, Vincianne, Kathleen ne seront plus arrêtées. De manière très mycologique, elles s’entourent de bras, de têtes, de pieds… partent à la cueillette de la disponibilité et des atouts des uns et des autres … le terreau fertile se met en place avec Manu, Wendy, Jean-Claude, Nicolas, Patrick…

Mais ce terreau qui devait servir de substrat pour la germination d’idées florissantes, allait devenir le révélateur d’une constatation que peu de carnavaleux auraient pu deviner: … la Grosse Biesse ne va pas bien. Aucun doute possible, à force de voyages incessants à travers le monde voir même à travers les Mondes, ce qui devait arriver, arriva. La Grosse Biesse est sévèrement mycosée.

La Grosse Biesse infectée, c’est tout le Fond des Vaulx qui est concerné. Les effets sont nombreux et notamment l‘apparition d’un champignon disparu depuis des siècles et que l’on pensait éradiqué pour de bon. Emincé, sportif (ndlr : « qui produit beaucoup de spores »), … il a fait l’objet d’une attention particulière des autorités mycologiques marchoises qui, après maintes recherches dans les grimoires de la bibliothèque provinciale, ont retrouvé le nom donné autrefois à ce spécimen : L’Argouane du Fond des Vaulx. Nous ne connaissons que peu de choses sur lui mais l’histoire très récente nous a montré une de ses plus grandes qualités : il se répand de manière très rapide. Le carnaval 2017 et sa chaleur espagnole annoncée, un taux d’humidité légendaire sous le chapiteau et la dynamite des Gugusses, tous les ingrédients sont réunis pour une contamination mycontrôlée.

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